Les raisons qui poussent à arrêter de fumer sont nombreuses et variées.
Être bien informé sur les causes de la nocivité de la cigarette peut permettre aux fumeurs d'agir sur leurs comportements et de faire évoluer leurs habitudes.
À votre avis, quelle est la cause principale de nocivité de la cigarette ?
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Pas exactement.
Lorsqu'une cigarette est allumée, le tabac est brûlé et libère de la fumée. C'est ce que l'on appelle la "combustion" et c'est là le cœur du problème.
Le tabac dans la cigarette
Pas exactement.
Lorsqu'une cigarette est allumée, le tabac est brûlé et libère de la fumée. C'est ce que l'on appelle la "combustion" et c'est là le cœur du problème.
La nicotine dans le tabac
Oui, c'est exact!
Lorsqu'une cigarette est allumée, le tabac est brûlé et libère de la fumée. C'est ce que l'on appelle la "combustion" et c'est là le cœur du problème.
La fumée de cigarette issue de la combustion
Pas exactement.
Lorsqu'une cigarette est allumée, le tabac est brûlé et libère de la fumée. C'est ce que l'on appelle la "combustion" et c'est là le cœur du problème.
Le goudron
Lorsqu'une cigarette est allumée, le tabac est brûlé et libère de la fumée. C'est ce que l'on appelle la "combustion" et c'est là le cœur du problème.
La nicotine est hautement addictive
La nicotine a un effet stimulant et libère de la dopamine et des endorphines, ce qui la rend très addictive.
Néanmoins, la nicotine n'est pas la cause principale des maladies liées au tabagisme
Elle n'est cependant pas sans risques : elle provoque l'augmentation de la fréquence cardiaque et de la tension artérielle.
La fumée générée par la combustion est l'élément le plus dangereux de la cigarette.
Lorsqu’une cigarette est allumée, le tabac est brûlé. C’est ce qu’on appelle la « combustion » et c'est le cœur du problème.
La fumée libérée lors de la combustion contient plus de 6 000 substances chimiques.
Lorsqu'une cigarette est allumée, le tabac est brûlé à une température pouvant atteindre 900°C. Cette combustion libère des substances chimiques, dont une centaine d’entre elles ont été identifiées comme nocives, ou potentiellement nocives, par des organismes de santé publique de référence.
C'est la fumée de cigarette qui est la première cause des maladies liées au tabagisme.
Le goudron est généré quand le tabac est brûlé.
L’un des éléments les plus nocifs de la fumée de cigarette est ce qu’on appelle communément « le goudron ».
Le goudron représente simplement le poids total du mélange de plusieurs composés – résidus solides et liquides - recueillis dans la fumée de cigarette (hors eau et nicotine).
Les alternatives sans combustion ne génèrent pas de fumée mais de la vapeur.
Le goudron n’est généralement pas utilisé comme une unité de mesure quand on l’applique aux alternatives sans combustion, car la composition chimique de l’aérosol (vapeur) est fondamentalement différente de la fumée de cigarette.
La combustion constitue le critère principal de la nocivité. En éliminant la combustion, ces alternatives réduisent significativement la concentration moyenne de substances nocives par rapport à la cigarette.
Les alternatives sans combustion et la réduction des risques tabagiques
L'approche de réduction des risques tabagiques vise à diminuer l’exposition des fumeurs aux principales substances nocives des cigarettes, à savoir celles générées par la combustion du tabac.
Cette approche est un moyen d’action supplémentaire en matière de lutte contre le tabagisme, en complément de la non-initiation et de la cessation, les deux piliers de la politique de santé publique française en la matière. L'arrêt de toute consommation de tabac et de nicotine reste l'objectif prioritaire.
Comparez la cigarette avec les alternatives sans combustion
Bien qu’elles soient addictives et non sans risque, les alternatives sans combustion fondées sur la science représentent un meilleur choix que de continuer à fumer.
Le meilleur choix sera toujours de ne pas commencer à consommer du tabac et de la nicotine, le cas échéant d'arrêter.
Des moyens pour arrêter existent. Selon la Haute Autorité de Santé, l'accompagnement et le soutien psychologique par un professionnel de santé sont la base de la prise en charge.
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Foire aux questions
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La nicotine est naturellement présente dans la plante de tabac. Elle a des effets pharmacologiques, provoquant l’augmentation de la fréquence cardiaque et de la tension artérielle. Elle a également un effet stimulant et libère de la dopamine et des endorphines, ce qui la rend très addictive.
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La nicotine a un effet stimulant et libère de la dopamine et des endorphines, ce qui la rend très addictive, elle n’est cependant pas la cause principale des maladies liées au tabagisme. Néanmoins, elle n’est pas sans risques : elle provoque l’augmentation de la fréquence cardiaque et de la tension artérielle. Certaines personnes, notamment celles souffrant ou présentant un risque de maladies cardiaques, de diabète ou d’épilepsie, ne devraient pas consommer de produits à base de nicotine.
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Lorsqu’une cigarette est allumée, le tabac est brûlé à une température pouvant atteindre 900°C et libère de la fumée. C’est ce qu’on appelle la « combustion ». La fumée libérée lors de la combustion contient la majeure partie des substances chimiques identifiées comme nocives ou potentiellement nocives par des experts en santé publique.
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La fumée générée par la combustion est l’élément le plus dangereux de la cigarette. Lorsqu’une cigarette est allumée, le tabac est brûlé à une température pouvant atteindre 900°C et libère de la fumée, c’est ce qu’on appelle la « combustion » et c’est le cœur du problème. La fumée libérée par une cigarette allumée contient plus de 6 000 substances chimiques, dont une centaine ont été identifiées comme nocives ou potentiellement nocives par des experts en santé publique. Le processus de combustion entraine la production de la majeure partie des substances chimiques nocives détectées dans la fumée de cigarette. D’après le NICE UK (National Institute for Health and Care Excellence), « ce sont principalement les toxines et les substances cancérigènes présentes dans la fumée de tabac, et non la nicotine, qui sont responsables des maladies et décès liés au tabagisme.»1 Les données scientifiques2 montrent que plus la température du tabac augmente, plus le taux de substances chimiques nocives libérées est élevé. En éliminant la combustion, des alternatives à la cigarette parviennent à libérer de la nicotine sans fumée ni cendres. Ces produits, bien qu’addictifs et non sans risque, sont capables de réduire de façon significative le taux moyen de substances chimiques nocives libérées par rapport aux cigarettes. 1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2946180/ National Institute for Health and Care Excellence, “Smoking: Harm Reduction”, June 2013, 2 Baker, R.R., (1975) Temperature variation within a cigarette combustion coal during the smoking cycle; High Temperature Science 7: 236--247.
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Le goudron représente simplement le poids total du mélange de plusieurs composés – résidus solides et liquides - recueillis dans la fumée de cigarette (hors eau et nicotine) ; c’est-à-dire qu’il est généré quand le tabac est brulé et c’est l’un des éléments les plus nocifs de la fumée de la cigarette.
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Étant donné que le goudron est le poids des résidus de la fumée de cigarette après qu'une cigarette ait été brûlée, l’absence de combustion empêche la production de goudron. C’est ce qui est constaté avec, par exemple, les alternatives sans combustion, qui ne génèrent pas de fumée mais de la vapeur. Le goudron n’est généralement pas utilisé comme une unité de mesure quand on l’applique aux alternatives sans combustion, car la composition chimique de l’aérosol (vapeur) est fondamentalement différente de la fumée de la cigarette.
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La meilleure décision qu’un fumeur puisse prendre est d’arrêter complètement de consommer tabac et nicotine. Mais beaucoup de personnes ne le font pas. Grâce à la science et à la technologie, des alternatives sans combustion, et donc sans fumée, comme les cigarettes électroniques, les produits de tabac à chauffer et le snus ont été développés pour les adultes qui, autrement, continueraient de fumer. Lorsque ces produits sont fondés sur la science et soumis à des contrôles appropriés sur les plans de la qualité et de la sécurité, ils peuvent représenter des alternatives moins nocives à la poursuite de la consommation de la cigarette. En effet, l’élimination du processus de combustion permet de réduire significativement les taux de substances chimiques nocives libérées par rapport à celles contenues dans la fumée de cigarette Pour que les fumeurs adultes abandonnent complètement la cigarette, ils doivent trouver ces alternatives acceptables notamment au niveau du goût, du rituel et de l’expérience sensorielle Toutefois, elles ne sont pas sans risque et contiennent de la nicotine, qui est une substance addictive. Elles ne constituent par ailleurs pas des outils de sevrage tabagique.
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Le processus de combustion du tabac produit la majeure partie des substances chimiques nocives présentes dans la fumée de cigarettes. En éliminant ce processus de combustion, comme c’est le cas avec les produits sans fumée, il est donc possible de réduire de manière significative les taux de substances chimiques nocives générés en comparaison avec ceux présent dans la fumée de cigarette. Pour savoir si un produit a le potentiel de réduire significativement les émissions de substances nocives par rapport à la cigarette, il doit être évalué scientifiquement et individuellement.
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L’approche de réduction des risques tabagiques vise à diminuer l’exposition des fumeurs aux principales substances nocives des cigarettes, à savoir celles générées par la combustion du tabac. Cette approche est un moyen d’action supplémentaire en matière de lutte contre le tabagisme en complément de la non-initiation et de la cessation, les deux piliers de la politique de santé publique française en la matière. L’arrêt de la consommation de tabac et de nicotine reste l’objectif prioritaire et le meilleur choix sera toujours de ne pas consommer du tabac et de la nicotine. Des moyens pour arrêter existent. Selon la Haute Autorité de Santé, l’accompagnement et le soutien psychologique par un professionnel de santé sont la base de la prise en charge.